Interview Olive, Lili Drop, PART 2
Par Jean-François Jacq
Seconde partie de l'interview qu’Olive m’avait accordée dix jours avant son « reload » Lili Drop, le 15 juin 2005 au Point Ephémère. Il faut alors se remettre dans le contexte de l’époque. Une page entière dans le quotidien Le Monde, uniquement sur la base de ce concert ! Ce retour, cette fois-ci, comme il s’en explique dans cette seconde partie, il le veut « humainement gagnant ». Ce que Daniel Darc avait accompli en 2004 avec Crèvecoeur, Olive était en train de le distiller. J’ai eu l’occasion d’écouter deux titres chez Philippe Missir, deux titres qui ne sortiront jamais d’entre les murs de son studio. Sa rédemption. Le vertige. Une claque. Relire cette interview me fait penser à une petite phrase lâchée par Denis Bortek à la lecture de la première partie : « je crois l’entendre ». C’est bien sa gouaille, ses mots. Et ceux qui l’ont croisé savent que l’on ne peut pas l’oublier. Alors rien de tel, en guise de conclusion, que de réentendre sa voix avec, en fin d’interview, un merveilleux inédit. Sur ma mob, version live, Point Ephémère ce 15 juin 2005. Ceux qui étaient présents ce soir-là ne manqueront pas de se rappeler qu’ils se sont mangé une claque…
Donc Lili Drop, comment étiez-vous perçu justement, à cette époque, par les membres de Téléphone ?
Eh bien,